Sixtine Invité
| Sujet: Pathologie Mar 8 Avr - 20:13 | |
| Nom du site : Pathologie Lien :http://pathologie.justgoo.com/post.forum?mode=editpost&p=13 Bannière :Contexte :Qui n’a jamais rêvé de faire des études de médecine dans une prestigieuse université ? Ce rêve peut se réaliser, il vous suffit juste de passer les examens et si vous avez la chance d’être accepter, vous ne savez donc ce que vous avez fait ! Bienvenue au cœur de Manhattan dans l’école des plus grands médecins légistes, ici vous apprendrez à découper, analyser les corps. Seuls les plus grands en ressortiront avec le fameux diplôme que tous rêve d’avoir. Mais ne vous fiez pas à ces jolies colonnes, à ses jolies salles d’analyses, à ces étudiants si gentils avec vous, ici trop de choses sont mystérieuse. Une légende dit que des étudiants tueraient pour pouvoir exécuter de nouvelles expériences sur les vivants, ils enlèveraient certains étudiants et plus personnes n’entendrais parler d’eux. Bien sur la direction répète encore et encore que tous cela est une légende et qu’aucun d’étudient n’a été enlevé, mais où vont donc ses étudiants disparus ? Cela le directeur ils auraient choisis une autre filière pour leurs études ! La direction serait-elle de mèche avec les Pathologers ? C’est ce que pensent les Mediumers, les deuxièmes années, ils feront tous pour découvrir ce qui se passent dans cette université, à leurs risque et périls. "Il faisait froid ce soir là, je ne savais pas vraiment comment j’avais atterrie ici, mais en tout cas une chose dont j’étais certaine c’est que cette forêt ne m’étais pas inconnu. Je reconnaissais ces arbres, ces fleurs, malgré la nuit j’arrivé à les apercevoir. Ma peau commencé à trembler légèrement, j’avais terriblement froid, aucun gilet, aucun T-shirt sur moi, j’étais dénudé, pour seul tissu un bandeau qui retenait ma poitrine et un mini short. Dans mes souvenirs je n’étais pas habillé de cette sorte. Je commençais à avoir peur, des bruits de feuille, la lune qui continuait de briller tout en me regardant fatigué et lasse de cette marche que je faisais depuis au moins deux heures. Cela faisait deux mois que j’avais intégré cette école de médecine, j’étais si excité qu’a tous les cours je ne pouvais m’empêcher de me faire remarquer et de répondre à toutes les questions que poser le professeur, j’avais surement dû me faire repérer comme ça et maintenant j’étais victime d’un bizutage de très mauvais goût. Je continuais de marcher, d’un pas lent, de toute façon j’étais toute seule dans cette forêt depuis deux longues heures, et je n’arrivé toujours pas à retrouver cette fichu sortit. C’était comme si j’étais dans un mauvais rêve, je priais pour que tout cela ne soit qu’un rêve. Je fis encore quelques pas et un silence, un si long silence se mit à s’imposer. Plus aucun bruit à l’horizon, ce qui me fit de plus en plus peur, un tel silence n’était pas normal. D’un ton stressé j’essayai de ne pas montrer ma peur.Bon allez là…c’était bien marrant….mais ma patience à des limites…vous vous êtes bien amusé…Un rire sinistre se fit entendre, ce qui ne me rassura pas du tout, je n’étais donc pas toute seule, mais qui était là, qui s’amuser à me torturer comme sa, qui pouvait être aussi horrible pour faire sa. Des pas se firent entendre dans ma direction et je pu différencier une silhouette Je n’arrivais pas à distinguer le visage de cette personne, je pouvais seulement voir que c’était un homme, la nuit cacher son visage. Une larme coula sur ma joue, jamais je n’avais eu aussi peur, mais pourquoi tout cela m’arriver, à moi ! Je reculai de quelques pas pour me cogner à un autre corps, je me retournai et vie une deuxième silhouette, cette fois si elle était féminine, je connaissais cette personne, je la connaissais trop bien. Avant que je ne puisse ouvrir la bouche d’autres silhouettes vinrent m’entourer, j’étais prise au piège, je ne pouvais m’enfuir, mais à quoi toutes ces personnes jouaient-elles ? Trouvaient-elles sa amusant ? Oui, elles le trouvaient, elles avaient toutes un sourire niais sur les lèvres. J’avais terriblement peur, ils n’avaient pas l’air de rigoler. Il ne m restait plus qu’une chose à faire, crier, crier de toute mes forces pour que quelqu’un m’entendent. J’ouvris la bouche et avant qu’un son de sorte de ma bouche je sentis une affreuse douleur m’atteindre à la tête, je sentis mon corps basculer à l’avant et le vide totale.
Un goût amer dans la bouche, des douleurs partout dans le corps, je sentis mon cerveau bouillir, j’avais terriblement mal. J’ouvris doucement les yeux, une lumière aveuglante me taper dans les yeux. J’étais allonger, allonger sur quelque chose de dur, de froid, pas dans un lit, je n’étais pas dans un lit, ce n’était pas un rêve, tout cela était bien réel, j’ouvris à grand vitesse mes yeux pour apercevoir, que je n’étais pas dans ma chambre non, mais dans une salle d’autopsie. J’essayai de bouger mes jambes, je ne sentis rien, ils devaient être attachés pour ne pas que je m’évade. Je levai la tête, non ce n’était pas pour sa, je n’avais directement plus mes jambes !"Top affiliates : [ x ] Oui [ ] NonSi l'image de notre bannière ne marche pas j'en suis désolé, en tout cas la votre est déja mise sur la page d'acceuil ^^ |
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